Définir des possibles pour défier l'impossible
Et m'exploser le cœur,
J'en ai plus rien à foutre
Repousser les limites et lire ta main
Surfer sur les océans,
Ne jamais toucher le fond
Toujours ces autoroutes,
Nos cœurs en cimetière...
Au feu les idéaux, au feu leurs idéaux
Sans doute tu seras ma mort, j'espère que tu seras encore...
A bout de souffle
Puisque chaque nuit à son aurore
P uisque Lisa chante encore
A bout de souffle
Tu le sais bien on est vivant, tant qu'on est inconscient
A bout de souffle
Et le dernier des jugements, il peut venir nous on l'attend
A bout de souffle
Rien ne sert de penser, immortel est la plaie
D 'éviter le combat
Mais toi tu connais ça
Atteindre des sommets
Comme on mord la poussière,
E t croire en des idées
Ooh non, non c'est plus pour moi
Sans doute tu seras ma mort, j'espère que tu seras encore...
A bout de souffle
Puisque chaque nuit à son aurore
P uisque Lisa chante encore
A bout de souffle
Tu le sais bien on est vivant, tant qu'on est inconscient
A bout de souffle
Et le dernier des jugements, il peut venir nous on l'attend
A bout de souffle
Sans doute tu seras ma mort, j'espère
que tu seras encore...
A bout de souffle
Puisque chaque nuit à son aurore
P uisque Lisa chante encore
A bout de souffle
Ouvrir les yeux sur ce monde de merde
Des milliards de crétins, et moi le premier
Dans ce peuple perdu
Dans ce pays vendu
Aux enchères des monnaies
Et puis fermer les yeux
Ouvrir les yeux sur mes parents trop morts
Et leur jolie jardin
Et leur jolie voiture
Et ma jolie copine
Aussi bien maquillée que ce monde qui m'entoure
Je voudrais mourir en paix
Ouvrir les yeux sur ce prof de merde
J'suis encore défoncé et puis j'y comprends rien
Mais qu'est-ce que tu racontes
Et ton éducation, la seule éducation c'est la consommation
Ouvrir les yeux sur ce prof de merde
J'suis encore défoncé et puis j'y comprends rien
Mais qu'est-ce que tu racontes
Et ton éducation, la seule éducation.......
Je voudrais mourir en paix
Ouvrir les yeux on n'a pas de futur
Mais rien ne presse puisqu'on est les champions
Consommation, éducation, compétition, élimination
Ouvrir les yeux on n'a pas de futur
Mais rien ne presse puisqu'on est les champions et 1 et 2 et 3, 0
Puisqu'on est condamné, condamné
Ouvrir les yeux on n'a pas de futur
Mais rien ne presse puisqu'on est les champions
Consommation, éducation, compétition, élimination
Ouvrir les yeux on n'a pas de futur
Mais rien ne presse puisqu'on est......
Puisqu'on est... Puisqu'on est...
Condamnés
Let us burn one
from end to end
and pass it over
to me my friend
burn it long, we'll burn it slow
to light me up before I go
if you don't like my fire
then don't come around
cause I'm gonna burn one down
yes I'm gonna burn one down
my choice is what I choose to do
and if I'm causing no harm
it shouldn't bother you
your choice is who you choose to be
and if your causin' no harm
then you're alright with me
if you don't like my fire
then don't come around
cause I'm gonna burn one down
yes I'm gonna burn one down
herb the gift from the earth
and what's from the earth
is of the greatest worth
so before you knock it try it first
you'll see it's a blessing
and not a curse
if you don't like my fire
then don't come around
cause I'm gonna burn one down
yes I'm gonna burn one down
So I'm down and so I'm out
But so are many others
So I feel like trying to hide
My head 'neath these covers
Life is like the seasons
After winter comes the spring
So I'll keep this smile awhile
And see what tomorrow brings
I've been told and I believe
That life is meant for living
And even when my chips are low
There's still some left for givin'
I've been many places
Maybe not as far as you
So I think I'll stay awhile
And see if some dreams come true
J'y peux rien tu m'allumes
Rien qu'à me regardé
Ca m'excite ça me défonce rien
Qu'à te voir danser à mes genoux
Comme un ange en danger
Tu me le fais ça me le fais
De te savoir paré
Écorché déchiré jusqu'à n'en plus savoir
A n'avoir jamais su
Qui je suis ou je vais
Je sais plus si c'est toi ou si c'est moi
Qui suce et qui me tire
En jurant que tu vas me bourrer
Écorché déchiré écartelé x2
Défoncé défonce moi ; moi sans dessous
dessus
Déchiré déchire moi , moi sans dessous dessus
Attends moi tu vas voir ce que tu fais de moi
Tu es beau quand tu jouies
C'est moi qui m'extasie
Tu es beau quand tu m'obéis
Nous plaire nous déplaire , nous faire et nous refaire
Allez suce mon amour
Défoncé défonce moi ; moi sans dessous
dessus
Déchiré déchire moi , moi sans dessous dessus
Que l'on brûle en enfer
Disarm you with a smile
And cut you like you want me to
Cut that little child
Inside of me and such a part of you
Ooh, the years burn
I used to be a little boy
So old in my shoes
And what I choose is my choice
What's a boy supposed to do?
The killer in me is the killer in you
My love
I send this smile over to you
Disarm you with a smile
And leave you like they left me here
To wither in denial
The bitterness of one who's left alone
Ooh, the years burn
Ooh, the years burn, burn, burn
I used to be a little boy
So old in my shoes
And what I choose is my voice
What's a boy supposed to do ?
The killer in me is the killer in you
My love
I send this smile over to you
The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you
The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you
The killer in me is the killer in you
Send this smile over to you
Avons-nous donc commis une action étrange?
Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi
Je frissonne de peur quand tu me dis: "Mon ange!"
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi.
Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée!
Toi que j'aime à jamais, ma sœur d'élection,
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition!
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition!
Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer?
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté!
Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
À ce rouge soleil que l'on nomme l'amour!
On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître!
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain: " Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme béant; cet abîme est mon cœur!
Brûlant comme un volcan, profond comme le vide!
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménides
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang
Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude amène le repos!
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux! "
Descendez, descendez, lamentables victimes,
Descendez le chemin de l'enfer éternel!
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel
Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes;
Par les fentes des murs des miasmes fiévreux
Filtrant, s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux
Faites votre destin, âmes désordonnées,
Et fuyez l'infini que vous portez en vous!
Hippolyte, cher cœur, que dis-tu de ces choses?
Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'holocauste sacré de tes premières roses
Aux souffles violents qui pourraient les flétrir?
Hippolyte, Ô ma sœur! Tourne donc ton visage,
Toi, mon âme et mon cœur, mon tout et ma moitié
Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles!
Pour un de ces regards charmants, baume divin,
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles,
Et je t'endormirai dans un rêve sans fin!
her green plastic wateringcan
for her fake chinese rubber plant
in the fake plastic earth
that she bought from a rubber man
in a town full of rubber
plants to get rid of itself, it wears her out
she lives with a broken man,
a cracked polystyrene man who just crumbles and burns
he used to do surgery for girls in the eighties
but gravity always wins and it wears him out
she looks like the real thing
she tastes like the real thing, my fake plastic love
but I can't help the feeling
i could blow through the ceiling
if I just turn and run
and it wears me out
if I could be who you wanted all the time
J'ai vu, les larmes aux yeux, les nouvelles ce matin
20% pour l'horreur, 20% pour la peur
Ivres d'inconscience, tous fils de France
Au pays des Lumières, amnésie suicidaire
Non non non non non...
Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation de la tolérance
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous sommes à l'heure de la résistance
Pour les rêves qu'on a fait,
pour ceux qu'on fera
Pour le poing qu'on a levé,
pour celui qu'on lèvera
Pour un idéal,
pour une utopie
Allons, marchons ensemble
E nfants de la patrie
Fils de France
ça pour baisser la tête, ah oui ça t'aimes bien les minutes
de silence
Fils de France
c'était à peine hier et déjà tu brandis le drapeau
de l'ignorance
Fils de France
nous n'oublierons jamais que nous sommes et serons les enfants de la résistance
Fils de France
au royaume des aveugles, tu sais bien ce qu'on dit, les borgnes sont les rois
Y'a ces ombres derrière nous
Y'a ces idées vendues
Y'a ces drapeaux qui flottent
Et ces hymnes dessus
Et puis y'a toi mon frère
Oui toi qui n'y crois plus
Et puis y'a nos prières
Et nos causes perdues
Honte à notre pays
Honte à notre patrie
Honte à nous la jeunesse
Honte à la tyrannie
Honte à notre pays
Revoilà l'ennemi
Allons, marchons ensemble
Enfants de la patrie
Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation de la tolérance
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous sommes à l'heure de la résistance
Nous sommes, nous sommes la nation des droits de l'homme
Nous sommes, nous sommes la nation des différences
Nous sommes, nous sommes la nation des Lumières
Nous sommes, nous sommes à l'heure de la résistance
Frère
Frère de sang, frère de nation
Frère de rien, frère de putain
Juste des frères
Frère
Mais dis-moi que je ne suis plus seul
Au milieu de milliard de moi
De milliard de toi
Puisqu'on est déjà mort
Puisqu'on est déjà mort
Puisqu'on en veut encore
Chaque jour un peu plus
Frère
Frère de sang, frère d'horizon
Frère de rien, frère de chemin
Juste des frères
Frère
Mais dis-moi que je ne suis plus seul
Au milieu de milliard de moi
De milliard de toi...
Par le petit garçon qui meurt près de sa mère
Tandis que des enfants s'amusent au parterre ;
Et par l'oiseau blessé qui ne sait pas comment
Son aile tout à coup s'ensanglante et descend
Par la soif et la faim et le délire ardent
Je vous salue, Marie.
Par les gosses battus par l'ivrogne qui rentre,
Par l'âne qui reçoit des coups de pied au ventre
Et par l'humiliation de l'innocent châtié,
Par la vierge vendue qu'on a déshabillée,
Par le fils dont la mère a été insultée
Je vous salue, Marie.
Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids,
S'écrie : "Mon Dieu ! " Par le malheureux dont les bras
Ne purent s'appuyer sur une amour humaine
Comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène
Par le cheval tombé sous le chariot qu'il traîne
Je vous salue, Marie.
Par les quatre horizons qui crucifient le Monde,
Par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe,
Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains,
Par le malade que l'on opère et qui geint
Et par le juste mis au rang des assassins
Je vous salue, Marie.
Par la mère apprenant que son fils est guéri,
Par l'oiseau rappelant l'oiseau tombé du nid,
Par l'herbe qui a soif et recueille l'ondée,
Par le baiser perdu par l'amour redonné,
Et par le mendiant retrouvant sa monnaie :
Je vous salue, Marie.
I've got sunshine on a cloudy day.
When it's cold outside I've got the month of May.
I guess you'd say
What can make me feel this way?
My girl (my girl, my girl)
Talkin' 'bout my girl (my girl)
I've got so much honey the bees envy me.
I've got a sweeter song than the birds in the trees.
I guess you'd say
What can make me feel this way ?
My girl (my girl, my girl)
Talkin' 'bout my girl (my girl)
Hey hey hey
Hey hey hey
Ooooh.
I don't need no money, fortune, or fame.
I've got all the riches baby one man can claim.
I guess you'd say
What can make me feel this way ?
My girl (my girl, my girl)
Talkin' 'bout my girl (my girl)
I've got sunshine on a cloudy day
with my girl
I've even got the month of May
with my girl
C'est le chant de ceux qui n'ont rien
Rien que des idées pour aller plus loin
C'est le chant des fous, des poètes
Tous les perdus sur leur mega planète
C'est le chant désespéré
Que leurs ailes empêchent de marcher
Ce qu'ils préfèrent : être condamnés
À garder les yeux fermés.
Ceux qu'on tue, ceux qu'on brûlent en Enfer
Ceux qui parlent, ceux qu'on voudrait faire taire
Ceux qui n'ont pas de religion
Ceux qui n'ont pas de Dieu ni de maître
Ceux qui gardent (...?...?...)
Vont tendre la main à un de leurs frères
Ceux qui préfèrent être fusillés
A garder la tête baissée
Ceux qui prennent au nom des libertés
Une plume, de l'encre et du papier
Pour refaire, pour mieux réinventer notre pauvre, notre pauvre réalité
Et puis toi que je ne connais pas
Mais qui je sais est bien plus que moi
Liberté, ô je prie pour toi
Que jamais ne cesse le combat
Et puis toi que je ne connais pas
Mais qui je sais est bien plus que moi
Liberté, ô je prie pour toi
Que jamais ne cesse le combat
Il y a ton sourire qui s'élève
C'est comme une lueur d'espoir
Il y a l'ombre et la lumière
Au milieu, notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s'en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c'est fini
Il y a le vent de nos sanglots
Qui souffle pour une amnistie
Mais rien n'arrêtera la lutte
Rien ne séchera cette pluie
Non rien ne finira la chute
Rien ne finit l'infini
Rien ne desserrera nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nous forcerons nos destins
Et puis nous percerons les mystères
Il y a les lois de l'Empire
Et les trous noirs dans ma mémoire
Il y a le meilleur et puis le pire
Au milieu, notre trajectoire
Combien tu vends ta liberté ?
Dis combien tu vends ta poésie ?
Moi j'ai même vendu mon âme au diable pour ton sourire
Puisque tout est aléatoire dans le chaos des univers
Puisque insoluble est la réponse et puisque déjà me manque
l'air
Et qu'importe les directions jusqu'au delà de la limite
Tous les chemins mènent à tes yeux
Tous les chemins mènent à la fuite
Rien ne desserrera nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nous forcerons nos destins
Nous percerons les mystères
Rien ne desserrera ces poings
L'univers...
L 'univers...
N ous retrouverons nos chemins
Nos idées, puis l'univers
Il y a ton sourire qui s'élève
C'est comme une lueur d'espoir
Il y a l'ombre et la lumière
Au milieu, notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi les pluies
Acides à s'en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits